LA DESCRIPTION:

La cour intérieure. C'est la manière de vivre cet espace interstitiel qui définit la volonté architecturale finale du projet: la vie à l'étranger, ouverte, fermée, en communauté; une photographie vivante de l'utopie vitale mexicaine, c'est-à-dire un monde de coexistence, de désordre, de couleur et de nature; Un reflet de l'âme dans le patio mexicain. Ces patios relient à leur tour visuellement et harmonieusement l'extérieur envahi de végétation avec les intérieurs, créant des frontières très diffuses entre l'intérieur et l'extérieur. Laissant une vue dégagée à tous les points de vue, montagnes, ruisseaux, arbres, ruisseaux et végétation luxuriante.

L'architecture des maisons au centre des villes anciennes utilisait le patio comme cœur et distribution de la maison et de sa croissance future. Une distribution sobre et simple qui garantit à son tour une bonne ventilation et un bon éclairage de chaque espace.

Construit sur un site extrêmement escarpé dans une zone à végétation étendue, l'accent a été mis sur l'intégration de la maison dans l'environnement forestier avec une perturbation minimale de la faune. L'un des premiers points à concilier a été de «prolonger» un terrain plus «plat» pour créer un jardin au niveau de la maison. Sa palette de couleurs extérieures noires imite les troncs d'arbres noirs vus dans la forêt.

L'architecture écologique ou «verte» est généralement centrée sur une forme très orthodoxe caractérisée par un style de vie de culpabilité et de sacrifice. Il est souvent en contradiction avec le confort ou le bon goût et nous apporte au contraire la promesse d'une vie de dur labeur qui sera récompensée par la prospérité. Ce projet tente de lier et de parvenir à un accord dans lequel l'environnement est bénéfique tandis que les habitants de la maison ne sacrifient pas leur confort. Pour cela, le projet utilise plusieurs moyens pour y parvenir, par des moyens mécaniques et naturels et en profitant de l'environnement immédiat.